Le numéro 16 de la série “Écritures contemporaines” de La Revue des lettres modernes est le premier ouvrage universitaire entièrement consacré à l’œuvre de Sylvain Prudhomme. Il compose depuis 2007 une œuvre qui s’élabore entre l’ici et l’ailleurs, entre la France et l’Afrique. Ses romans, récits et reportages proposent une œuvre nomade, ponctuée de portraits empathiques et lestée d’un goût du concret. Il dessine avec humanité des silhouettes dans les périphéries, pour lutter contre la domination politique des centres. Au fil de l’œuvre, s’élabore un éloge joyeux de la vie, dans son caractère imprévisible et bouleversant.
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Introduction / Introduction, par Laurent DEMANZE, Pascale ROUX
1. Figures du voyageur. Une anthropologie du nomadisme / Figures of the Traveler. An Anthropology of Nomadism, par Liouba BISCHOFF 2. Raconter/penser l’Afrique en contexte décolonial. Dialogue entre Ngugi wa Thiong’o et Sylvain Prudhomme / Telling/thinking Africa in a Decolonial Context. Dialogue between Ngugi wa Thiong’o and Sylvain Prudhomme, par Ridha BOULAÂBI 3. Raconter en traduisant. Le créole dans Les Grands (2014) / Telling by Translating. Creole in Les Grands (2014), par Pascale ROUX |
Le numéro 15 de la série “Écritures contemporaines” de La Revue des lettres modernes est le premier ouvrage universitaire entièrement consacré à l’œuvre d'Olivia Rosenthal. Écrivaine, performeuse, investissant le livre comme la scène, Olivia Rosenthal déploie depuis plus de vingt ans une œuvre importante, essentiellement publiée aux Éditions Verticales. Ce collectif tente d'en dresser un premier bilan, en analysant cette poétique originale qui se situe à la croisée des chemins : entre fiction et documentaire, entre écriture personnelle et recueil de témoignages, entre intertextualité et intermédialité, entre pratique de dispositifs formels et interrogation sur les possibilités de dire l'intime. Ce qui frappe, en effet, dans les ouvrages d'Olivia Rosenthal, c'est le fait qu'ils nous parlent avec acuité de notre monde et de nos préoccupations les plus actuelles, tout en représentant cette matière vive à travers des dispositifs littéraires exigeants. L'écriture d'Olivia Rosenthal est ainsi l'expérience concomitante de la saisie et du débordement du monde et de l'intime.
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Introduction, par Fabien GRIS
1. Early Modern O. R. : cinq notes sur les vies littéraires d’Olivia Rosenthal, par Michel JOURDE 2. Les réinventions de soi dans Mes Petites Communautés, par Jean-Marc BAUDE |
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I. IDENTITÉ(S) ET POLITIQUE(S) ÉDITORIALES / EDITORIAL IDENTITY/IES AND POLITICS
1. L’identité éditoriale de Verticales. Table ronde avec Claro, Jeanne Guyon, Yves Pagès et Pierre Senges / The Editorial Identity of Verticales. Round table with Claro, Jeanne Guyon, Yves Pagès, and Pierre Senges, par Aurélie ADLER 2. Les éditions Verticales. Sociohistoire de la construction d’une position emblématique dans le champ littéraire / Verticales. A Sociohistory of the Construction of an Emblematic Position in the Literary Field, par Lilas BASS 3. Verticales Phase 1 – un situationnisme esthétique / Verticales Phase One—An Aesthetic Situationism, par Stéphane BIKIALO 4. Frédéric Ciriez, écrire paillettes et déchets / Frédéric Ciriez, Writing Glitter and Waste, par Sylvie DUCAS 5. Peut-on parler d’une « Génération Verticales » ? / Can We Speak of a “Verticales Generation”? , par Alain NICOLAS 6. Le collectif Inculte et les éditions Verticales. Étude d’une rencontre posturale / The Inculte collective and Verticales. A Look at a Postural Encounter, par Jean-Marc BAUD 7. Philippe Bretelle, l’œil de Verticales / Philippe Bretelle, the Eye of Verticales, par Stéphane BIKIALO, Martin RASS |
Entre inquiétude et jubilation, l’exploration des savoirs est inséparable chez Pierre Senges d’une exploration des ressources de la fiction. L’appétit de savoir s’accompagnant de la mise en cause du savoir, l’œuvre apparaît tout entière tendue entre thésaurisation et dissémination, et entretient une relation à l’érudition fait d’admiration et d’irrévérence. Hospitalière et généreuse à maints égards, elle n’en est pas moins en lutte perpétuelle contre le réel, contre les codes, et contre le lecteur qui s’y plie. Le jeu sur les possibles narratifs et la manière de construire une histoire, tout comme le maniement de l’intertexte ou le travail de sape de l’auctorialité appellent en effet une réception active du lecteur. Sous les traits de l’autodidacte, l’individu contemporain ainsi portraituré apparaît de la sorte comme un lecteur non seulement averti mais aussi affranchi de l’esprit de sérieux, que l’œuvre érudite et inventive de Pierre Senges engage dans une relation féconde tant au savoir qu’à la littérature.
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Avant-propos, par Laurent Demanze
Introduction, par Audrey Camus et Laurent DEMANZE 1. « La chute était leur trajectoire », erreurs et échecs chez Pierre Senges, par Fabien GRIS |
La famille connaît depuis un quart de siècle des mutations considérables qui tiennent à des facteurs très divers (économiques, historiques, sociologiques). La vie privée est également de plus en plus médiatisée, dans ses formes extrêmes d’aliénations ou de psychoses et fournit un matériau fécond pour la littérature autobiographique et romanesque. Les études rassemblées dans ce volume entendent observer ce qu’en dit le roman depuis les années 1980, quand le retour au récit coïncide avec un retour en force de la famille dans la fiction. On découvre aussi que l’imagination formelle mise en œuvre est à la mesure des chaos, désunions et recompositions qui caractérisent ces infamilles.
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avant-propos par Laurent DEMANZE
Introduction par Sylviane COYAULT I. FILIATIONS ET HÉRITAGE Introduction par Christine JÉRUSALEM 1. Fictions familiales versus Récits de filiation : pour une topographie de la famille en littérature, par Dominique VIART |
Issu du colloque « La voix étrangère de Valère Novarina » organisé en 2005 à l’Université d’État de Moscou, le présent volume collectif explore l’œuvre novarinienne du point de vue de ses enjeux dramaturgiques et traductologiques. Si cette écriture polyglotte et disruptive bouleverse les coordonnées traditionnelles du drame, elle invite aussi à penser chaque idiome comme une « langue en partage » où notre réalité personnelle, sociale et politique se crée et se réinvente continuellement. Par son expérience de recherche internationale et interdisciplinaire, Valère Novarina, le langage en scène vise à rendre compte de l’“étrangèreté” du verbe novarinien et de la force critique – et comique – d’une œuvre-phare de la littérature contemporaine.
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avant-propos, par Frédérik Detue et Olivier Dubouclez
1. Personne. À propos des personnages dans La Scène, par Marco Baschera. 2. Le Cercle et le carré (géométries de l’écriture et du plateau), par Céline Hersant. 3. Le Théâtre de la parole : remarques sur la «poésie» au théâtre chez Novarina à partir d’Artaud et de Vitrac, par Elena Galtsova. 4. Poétique de la transgression, de Georges Bataille à Valère Novarina, par Désirée Lorenz et Tatiana Weiser. |
avant-propos, par Dominique Viart
I. ÉCRIRE L’HISTOIRE AUJOURD’HUI 1. Nouveaux modèles de représentation de l’Histoire en littérature contemporaine, par Dominique Viart. 2. Le Nouveau Roman et l’Histoire après 1980, par Francine Dugast. 3. Nouvelle Histoire, autre roman : le détail, le corps, la langue, par Agnès Disson. 4. Didier Daeninckx et l’événement fatal, par Flavio Sorrentino. II. AUTOUR DE LA GRANDE GUERRE 5. La Grande Guerre vue par les auteurs de romans policiers, par Pierre Gauyat. 6. La Grande Guerre en perspective 2000, par Gianfranco Rubino. 7. Dans la guerre, Alice Ferney et ses prédécesseurs : Henri Barbusse, Roland Dorgelès et Jean Giono, par Griet Theeten. 8. La Représentation de la Grande Guerre chez Marie-Paul Armand, par Françoise Kuczaj. III. TRAUMATISMES 9. “Comment on meurt et comment on tue” : la Grande Guerre et la mort dans le roman contemporain (1980–2005), par Pierre Schoentjes. |
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Gérard Macé, colporteur de livres et de mondes, par Dominique Viart.
GÉRARD MACÉ, ALCHIMISTE DU VERBE. 1. Note sur « le livre muet », par Jean Starobinski. 2. Les Anges qui boitent, par Sylvie Thorel. 3. Bois dormant : traduction, critique, voix, par Timothy Mathews. GÉRARD MACÉ, FAUTEUR D’IMAGES. 4. Bois dormant ou les chambres du temps, par Agnès Castiglione. 5. Le Firmament photographique, par Karine Gros. 6. L’Humble objectif : photographie, voyage et mémoire dans Un Monde qui ressemble au monde, par Akane kawakami Davis. GÉRARD MACÉ, RÊVEUR DE VIES. 7. « Traduire, interpréter, rêver sa vie » : image et récit de vie chez Gérard Macé, par David Houston-Jones. 8. Sur « la piste romanesque » de Champollion, par Dominique Rabaté. 9. Les “beaux contresens” : Macé lecteur de Proust, par Stéphane Chaudier. 10. Manteaux de poupée, par Anne Roche. |
Antoine Volodine est d’évidence, parmi tous les écrivains contemporains, l’un des plus singuliers. Auteur d’une œuvre polyphonique, publiée sous des noms divers et réunie sous la notion de « post-exotisme », il met en scène des futurs improbables, issus de l’échec des utopies révolutionnaires et des totalitarismes qui ont suivi. Les personnages y sont prisonniers d’espaces incertains, proches de ceux dans lesquels errent les âmes des morts du Bardo-Thödol tibétain. Cet ouvrage saisit l’œuvre au moment où s’affirme le système rigoureux qu’elle met en place et propose un entretien avec l’écrivain.
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avant-propos, par Anne Roche.
1. Portrait de l’auteur en chiffonnier, par Anne Roche. 2. Situer Volodine ? Fictions du politique, esprit de l’Histoire et anthropologie littéraire du “post-exotisme”, par Dominique Viart. 3. « Pour une meilleure transparence de la désinformation » : le commentaire-fiction d’Antoine Volodine, par Joëlle Gleize. 4. Portrait du lecteur “post-exotique” en camarade (note sur la réception des fictions d’Antoine Volodine), par Frank Wagner. 5. Illusions et désillusions karmiques : lecture du récit “post-exotique”, par Charif Majdalani. |
A l’opposé des théories de la poésie qui présentent ce genre comme solipsiste et enclos sur lui-même, cet ouvrage envisage l’ouverture au monde et la présence du « dehors » dans l’œuvre de nombreux poètes et prosateurs contemporains, explorateurs du langage et de ses formes : P. Alferi, J.-N. Chrisment, M. Desbiolles, L.-R. des Forêts, D. Fourcade, E. Hocquard, P. Jaccottet, G. Jouanard, C. Royet-Journoud, G. Luca, S. Macher, J.-L. Parent, A. Portugal, R. Queneau, J. Roubaud, J.-B. de Seynes, E. Tellerman, J.-P. Verheggen.
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PROBLÉMATIQUES
Effractions de la poésie : la tentation du dehors, par Dominique Viart. Étrange beauté, par Christian Doumet. Continuer, par Élisabeth Cardonne-Arlyck. LITTÉRALITÉS Portrait du poète en gentleman-cambrioleur : Jacques Roubaud, par Véronique Montémont. Dominique Fourcade ou une poétique rhizome, par Jérôme Game. Ni frontière, ni limite : ma haie d’Emmanuel Hocquard, par James Petterson. Poésie de Claude Royet-Journoud : amours du Je avec le dehors, par Laurent Fourcaut. |
Poète important de l’après-guerre, André du Bouchet (1924 – 2001) présente une œuvre singulière, espacée et diffractée sur la page, conjuguant recueils de poèmes et carnets. Co-fondateur de la revue L’Ephémère, ce poète fut proche de nombreux peintres dont il a commenté les travaux avec talent. L’ensemble de son œuvre est ici envisagé dans tous ses aspects - poésie, écrits sur l’art - et dans son dialogue avec d’autres poètes majeurs du XXe siècle.
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avant-propos, par Philippe Met.
1. André du Bouchet et la question de l’intime : l’Autre comme avènement de soi, par Franck Villain. 2. André du Bouchet : au bout du souffle, l’entretien infini, par Yasmine Getz. 3. Le Carnet et ses autres, par Daniel Leuwers. 4. « Hors de l’usage, et analogue à un lapsus » : Francis Ponge et André du Bouchet, par Philippe Met. 5. « Deux murs se font face » : Jacques Dupin et André du Bouchet — une écoute, par Valéry Hugotte. 6. « D’un trait qui figure et défigure » : Du Bouchet et Giacometti, par Michel Collot. 7. André du Bouchet et l’autre de l’esthétique : Segers, Poussin, Tal-Coat, par Michael Bishop. |
Ce cycle de onze études, consacrées à des auteurs (et autrices) de premier plan de la scène théâtrale britannique, Howard Barker, Steven Berkoff, Edward Bond, Jim Cartwright, Caryl Churchill, Martin Crimp, David Edgar, David Greig, Sarah Kane, Gregory Motton, Mark Ravenhill, rend compte de deux décennies majeures dans l'évolution des écritures théâtrales en Grande-Bretagne. Après l'engagement politique des années soixante-dix, qui relevait d'un certain esprit de l'utopie, les écrivains de théâtre se confrontent avec âpreté et virulence au triomphe du libéralisme, et, sous l'impulsion des minorités qui s'éveillent, inventent de nouvelles formes dramatiques répondant avec acuité aux violences, économiques ou guerrières, de cette fin de siècle.
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Les Écritures théâtrales en Grande-Bretagne (1980–2000) : l’Âge d’or et la dame de fer, par Jean-Marc Lanteri. I. ÉTUDES 1. Howard Barker ou la déconsécration du sens : à propos de Maudit crépuscule, par Sarah Hirschmüller. 2. Orgie, orgasme et politique — le théâtre de Steven Berkoff, par Nathalie Hourmant Le Bever. 3. Edward Bond : une dramaturgie de l’état de guerre, par David Lescot. |
Au cœur des débats entre poésie formaliste et lyrisme critique, attentif aussi aux autres voies explorées par des esthétiques singulières, cet ouvrage envisage l’expression du sujet et de l’altérité par les poètes contemporains français et francophones. Les œuvres de quelques un des plus importants d’entre eux y sont étudiées : Tanella Boni, Tahar Bekri, Aimé Césaire, Michel Deguy, Antoine Emaz, Claude Esteban, Dominique Fourcade, Lorand Gaspar, Philippe Jaccottet, Jean-Michel Maulpoix, Henri Michaux, Pascalle Monnier, Anne Portugal, Nathalie Quintane, Jacques Roubaud, Georges Schéhadé, Gérard Titus-Carmel.
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Je est un hôte, par Dominique Viart.
avant-propos, par Anne Struve-Debeaux. Comme une eau qui a soif… — notes sur l’identité et la figuration, par Jean-Michel Maulpoix. I. FONDEMENTS DU SUJET Éclatement et transfiguration du moi, par Claude Esteban. Lorand Gaspar : le monde écrit, par Michel Jarrety. L’Épreuve de l’altérité dans l’œuvre de Schehadé : le mensonge, la douleur et le rêve, par Anne Struve-Debeaux. |
Celui qui ouvre un livre de Jacques Borel se trouve happé par la quête des images mémorielles, par leur précision hallucinée, par la nostalgie dont elles sont chargées, par la poésie qui les enveloppe ; il est saisi par les longues phrases chargées d’incises qui s’attachent à formuler cet « élusif secret » qui toujours se dérobe, il est plongé dans une infinie méditation sur le temps et les morts, sur les lieux et les objets, sur la dépossession que ces images manifestent. C’est à cette puissance de la mémoire que s’attache ce volume qui parcourt ses « romans » et récits depuis L’Adoration, ses journaux et ses nombreux essais critiques.
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avant-propos, par Michel Braud et Joëlle de Sermet.
« LE PASSÉ, INGUÉRISSABLE » 1. La Mémoire, le supplice, par Joëlle de Sermet. 2. « Le Génie du ressouvenir » : rêver l’écriture de soi, par Michel Braud. 3. Une Écriture « saisissante », par Catherine Lépront. 4. Un Baroque janséniste, par Jean Roudaut. « AU BOUT DE SOI ALORS PEUT-ÊTRE » 5. Jacques Borel et les images : adoration et dépossession, par Dominique Rabaté. |
Issu du premier colloque consacré à la littérature contemporaine française (Fondation Noesis, Calaceite, Espagne, juillet 1996), cet ouvrage inaugure les études consacrées au renouvellement de la littérature narrative depuis la fin des années 1970. Nourri des débats entre littérature formaliste et littérature transitive, il demeure un ouvrage de référence où sont envisagées les œuvres de P. Bergounioux, F. Bon, J. Echenoz, S. Germain, J. Lahougue, C. Lépront, P. Michon, M. NDiaye, B. Peeters, J.-C. Pirotte, J.-B. Puech, P. Quignard, J. Rouaud, D. Sallenave, E. Savitzkaya, A. Volodine, où est discutée la notion de « postmodernité littéraire » et abordée pour la première fois la forme des Récits de filiation.
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États du roman contemporain, par Jan Baetens et Dominique Viart.
Crise des romans ou crise du roman ? par Jean Baetens. UNE CONSTELLATION DE MINUIT Les Grandes blondes parmi les noirs — Jean Echenoz, par Sjef Houppermans. Eugène Savitzkaya à la croisée des chemins, par Lau-rent Demoulin. Antoine Volodine — résistance et subversion, par Almut Wilske. VARIATIONS SUR LE ROMANESQUE La Vie malgré tout — Jean-Claude Pirotte ou le romanesque des récits incertains, par Yves Charnet. |
présentation de la Série « Écritures contemporaines » par Dominique VIART
1. Mémoires du récit : questions à la modernité, par Dominique VIART 2. Mélancolie du roman : la fiction dans l’œuvre de Pascal Guignard, par Dominique RABATÉ 3. Alain Badaud : la remontée du sens, par Gianfranco RUBINO 4. Détours : Gérard Macé : lecture, rêve, mémoire, par Françoise ASSO 5. Pierre Michon, le monde en héritage, par Adeline WRONA 6. Péchés d’écriture – Claude Louis-Combet : Blesse, ronce noire, par Jean-Christophe MILLOIS 7. Le « Je me souviens » de Jean Rouaud, par Francine DUGAST 8. Écritures du tombeau – François Bon, C’était toute une vie, par Valéry HUGOTTE 9. La littérature et le reste : Gilbert Lascaut, Olivier Rolin, Jacques Roubaud, Antoine Volodine, par Frédéric BRIOT 10. Marie Redonnet et l’écriture de la mémoire, par Marie DARRIEUSECQ Écritures contemporaines 1 : “Mémoires du récit”. Dominique Viart ed. . 1998. iv + 198 p. 25 € ISBN 978-2-256-90972-6 RÉIMPRESSION : Commander en ligne ici. |